Issu de l’anglais, le closing, qui veut dire « fermeture » est un métier qui consiste tout simplement en la finalisation et la conclusion par téléphone ou par visioconférence de ventes. Ceci pour le compte d’un entrepreneur moyennant une rémunération à la commission dans la plupart des cas.

Même si cela donne à croire que le closer n’est autre qu’un commercial, sachez qu’il s’agit de deux métiers bien différents. En effet, en closing, il n’y a pas de prospection. Le closer contacte des prospects qui en ont fait la demande et qui souhaitent en savoir plus sur l’offre proposée. Il ne s’agit donc chercher une vente rapide comme le ferait un commercial, mais de conduire le prospect intéressé dans le processus de vente, sans lui mettre de la pression.

Le closing, c’est de la vente éthique motivée par la volonté manifeste de satisfaire les besoins du client. Ce métier cache un aspect « suivi client », puisque c’est comme cela que le professionnel s’assurera que son client est vraiment satisfait du produit et de son expérience client. 

Il est également important de noter que le métier de closer s’adapte le plus souvent aux ventes de produits ou services haut de gamme et donc à très forte valeur ajoutée. Pour ces genres de produits et de services, vous conviendrez qu’il vous faut vraiment maîtriser les techniques spécifiques pour « clore » une vente.

Or, qu’il s’agisse des coachs, des infopreneurs, des influenceurs, des conférenciers, etc., très peu parviennent à convertir leurs prospects en clients. Pourtant, réussir à convertir un prospect est la phase décisive de tout cycle de vente et c’est justement cette étape qui fatigue les entrepreneurs et donne au métier de closer toute sa valeur. Cela dit, si vous envisagez changer de métier à 40 ans et que le métier de closer vous intéresse, voici quelles seront vos responsabilités.